2004 PERSPECTIVES EN SOCIOLINGUISTIQUE URBAINE (VOL1).

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ISBN : 2-7475-5893-2

 

BULOT T. (Dir.), 2004, Lieux de ville et identité (Perspectives en sociolinguistique urbaine. Volume 1), Paris, L’Harmattan, 207 pages.

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La sociolinguistique urbaine existe-t-elle ? Autrement dit, se distingue-t-elle, sur les plans conceptuels et méthodologiques, d’une sociolinguistique « non urbaine » ? Son émergence est-elle réelle ou spécifique d’une seule communauté nationale voire d’une seule culture ? Consacré aux lieux de ville, cet ouvrage propose, pour commencer de répondre à cette interrogation et adossé à des études de terrain (Marseille, Rouen, Bâle, Glasgow, Montpellier, Montréal...) un ensemble de réflexions épistémologiques, conceptuelles et théoriques pour approcher au plus près les corrélations entre lieux, langue(s), identité et espace urbain.

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Détails des contributions

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• Introduction. La sociolinguistique urbaine : une sociolinguistique de crise ? Premières considérations par Thierry Bulot et Cécile Bauvois (pp. 7-13)

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• La sociolinguistique et la ville. Hasard ou nécessité ? par Louis-Jean Calvet (pp. 13-30)

 

• Sociolinguistique urbaine ou urbanisation de la socio-linguistique ? Regards critiques et historiques sur la sociolinguistique par Médéric Gasquet-Cyrus (pp. 31-70)

 

• La ville n’est pas peuplée d’êtres anonymes : Processus de catégorisation et espace urbain par Lorenza Mondada (pp. 71-112)

 

• La double articulation de la spatialité urbaine : « espaces urbanisés » et « lieux de ville » en sociolinguistique par Thierry Bulot (pp. 113-146)

 

• Limited language in limited minds ? Urban Scots as a language of poverty par David Matheson (pp. 147-174)

 

• Espaces linguistiques à Montréal par Laur Elke (pp. 175-206)

 

Ont participé au volume 2 : Normand Labrie et Marcel Grimard de l’Université de Toronto (Canada), Elisabeth Dorier-Apprill du Laboratoire Population et environnement, Marseille (France), Cécile van Den Avenne de l’École Normale Supérieure Lettres et Sciences Humaines de Lyon (France) Sarah-Jane Conrad de l’Université de Berne (Suisse), Alexis Matthey de l’Université de Neufchâtel (Suisse), Marinette Matthey des Universités de Berne et de Neufchâtel (Suisse), Bernard Lamizet de l’Institut d’Études Politiques de Lyon (France) et Josefina Carrera-Sabaté des Universités de Barcelona et de Lleida (Espagne).

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